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Par Mr-Rachid le 6 Juillet 2019 à 08:03
Donald Trump est dans les starting-blocks. L’actuel président des États-Unis prépare déjà sa campagne pour la prochaine élection. Un travail pour lequel il ne récolte pas que des compliments.
Un peu plus de deux ans après son investiture à la Maison Blanche, Donald Trump prépare déjà les prochaines élections. Plus que jamais motivé à briguer un second mandat de président des États-Unis, le mari de Melania Trump met toutes les chances de son côté pour récolter des voix. Et tous les moyens sont bons pour faire parler de lui et se faire de la publicité. Pour son anniversaire par exemple, il a déboursé pas moins de 752 000 dollarspour diffuser des annonces sur Facebook afin que les internautes n’oublient pas de lui souhaiter. Et ça ne s’arrête pas là.
Ce vendredi 5 juillet dans la matinale de BFM TV, Julien Mielcarek présentait sa « pépite » quotidienne. L’occasion d’évoquer les débuts de campagne de Donald Trump et le gros couac à côté duquel personne n’est passé. Sur les réseaux sociaux, dont Facebook, plusieurs clips vantant les mérites de Donald Trump sont diffusés. Parmi eux, celui mettant en scène Tracey, une blonde quasi stoïque sur un bord de plage déclarant en voix off : « Le président Trump fait un travail extraordinaire. Je ne pourrais pas espérer un meilleur président pour les États-Unis ».
Mais les plus pointilleux ont vite découvert que cette femme était une fausse militante de Donald Trump. Si le témoignage est apparemment « bien réel », la personne est quant à elle le fruit d’une recherche sur banque d’images puisqu’il est possible de retrouver la même jeune femme sur des dizaines de photos représentant des mises en scène différentes. Une supercherie découverte par beaucoup et qui ne risque pas de jouer en sa faveur…
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Par Mr-Rachid le 6 Juillet 2019 à 07:56
Une quarantaine de militaires suisses sont soudainement tombés malades. Pris de problèmes gastriques, ils ont été hospitalisés ce jeudi, a fait savoir le gouvernement. Quatre d'entre eux sont dans un état critique.
Plus de 40 militaires et recrues d'une académie dans le centre de la Suisse ont été hospitalisés ce jeudi après être tombés soudainement malades, et quatre d'entre eux sont dans un état critique, a annoncé le gouvernement.
Le Département suisse de la Défense a précisé, dans un communiqué, que 43 membres et recrues de l'académie Jassbach de Linden, dans le canton de Berne, avaient soudainement souffert dans l'après-midi de problèmes gastro-intestinaux aigus, de diarrhée et de vomissements.
Quatre dans un état critique
"En conséquence, les 43 ont été envoyés, par ambulance et hélicoptère, vers des hôpitaux et des installations médicales militaires", poursuit le communiqué.
Un porte-parole de l'armée a indiqué à l'agence de presse ATS que quatre d'entre eux se trouvaient dans un état critique.
Alors que les autorités tentaient de déterminer les causes de cette épidémie, le canton de Berne a imposé une quarantaine sur le site de Jassbach, spécialisé dans la formation à la cyberdéfense.
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Par Nadia* le 18 Juin 2019 à 18:34
Le conducteur qui a fauché deux enfants à Lorient le 9 juin a été interpellé ce mardi matin vers 11 heures. La police l'a retrouvé dans un hôtel à proximité du lieu de la collision, après neuf jours de traque. Il risque jusqu'à dix d'emprisonnement.
Après neuf jours de traque, le chauffard de Lorient, qui a tué un enfant de neuf ans et grièvement blessé son cousin de sept ans, a été interpellé ce mardi matin dans un hôtel, à quelques kilomètres du lieu du drame. Un soulagement pour les familles des victimes, précise sur notre antenne Me Joseph Cohen-Sabban, l'un des avocats de la partie civile.
"Ils craignaient qu’on ne retrouve jamais le chauffard. Ils ont eu peur qu’il parte dans un autre pays sans possibilité d’extradition", a expliqué le conseil sur BFMTV.
Prévenus par un témoin qui a reconnu le suspect, les policiers l'ont cueilli dans l'hôtel où il s'était réfugié, à seulement six kilomètres du lieu de l'accident. "Ça ne m’étonne pas qu’il ait été retrouvé dans sa région, ce n’est pas un gangster au sens classique du terme, même si dernièrement certains gangsters se sont aussi fait arrêter à proximité de l’endroit où ils s’étaient évadés", réagit Me Joseph Cohen-Sabban.
"Pas les moyens financiers" pour continuer la cavale
Selon l'avocat, le fuyard de 20 ans "n’a pas de structure autour de lui. Il a dû avoir de l’aide de quelques copains ou de sa famille, l’enquête nous le dira. On verra s’il y a lieu d’évoquer des recels de malfaiteurs. Mais en tout cas, il était inexorable qu’il soit arrêté, je ne pense pas qu’il avait les moyens financiers de rester en cavale très longtemps".
Le 9 juin, le chauffard a pris la fuite après avoir percuté une voiture en sortie de rond-point, sans faire de blessé, et fauché sur un trottoir les deux enfants, deux cousins d'origine turque. L'un d'entre eux est mort, l'autre est toujours hospitalisé "dans un état stationnaire désastreux", nous précise l'avocat.
Vendredi, le parquet a ouvert une information judiciaire pour "homicide involontaire aggravé", "blessures involontaires aggravées", "conduite sans permis en récidive", et "défaut d'assurance et de refus d'obtempérer aggravé par la mise en danger d'autrui".
Dix ans de prison encourus
"Prendre la fuite après avoir percuté quelqu’un c’est une circonstance aggravante qui augmente sa peine à 10 ans d’emprisonnement. Qu’il prenne la fuite, on peut accepter un mauvais réflexe, mais qu’il reste neuf jours planqué alors que sa compagne s’est rendue, je trouve ça assez minable", tranche Me Joseph Cohen-Sabban.
Ce dernier attend désormais que l’enquête détermine comment se sont passés ces neuf jours de planque, mais aussi quelle a été l'attitude du jeune homme au volant: "A-t'il vu les enfants? Nous voulons savoir s'il s'agit d'une pure maladresse ou d'une mise en danger de la vie d’autrui".
Quant à la passagère de 21 ans qui a été interpellée mercredi après s'être présentée spontanément chez un habitant, elle a été mise en examen pour non-assistance à personne en danger et placée en détention provisoire. Elle encourt une peine maximale de sept ans de prison pour non assistance à personne en danger
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Par Nadia* le 18 Juin 2019 à 18:32
Le Pentagone a annoncé mardi l'envoi de 1 000 soldats au Moyen-Orient dans un contexte de tensions accrues avec Téhéran dans le Golfe. "L'Iran ne veut faire la guerre à aucun pays", a déclaré pour sa part le président iranien Hassan Rohani.
Les États-Unis ont une nouvelle fois renforcé leur dispositif militaire au Moyen-Orient dans un contexte de tensions accrues avec l'Iran. Le chef du Pentagone, Patrick Shanahan, a indiqué mardi 18 juin, avoir autorisé "l'envoi de 1 000 militaires supplémentaires à des fins défensives pour répondre à des menaces aériennes, navales et terrestres au Moyen-Orient".
Patrick Shanahan a assuré que les États-Unis "continueront de surveiller consciencieusement la situation" afin "d'ajuster le niveau des troupes" le cas échéant. Ces troupes viendront s'ajouter aux 1 500 militaires américains supplémentaires, dont le déploiement avait été annoncé le mois dernier, après l'attaque de quatre pétroliers au large des Émirats arabes unis.
Washington réagit à l'annonce faite lundi par Téhéran, qui a déclaré franchir bientôt la limite autorisée par l'accord international sur son programme nucléaire pour ses réserves d'uranium enrichi.
Pris à la gorge par les sanctions américaines, qui ont fait fuir les investisseurs étrangers revenus en Iran à partir de 2016, Téhéran avait prévenu le 8 mai qu'il s'affranchirait de deux engagements qu'il avait pris aux termes de l'accord de Vienne, affirmant que cela restait conforme aux dispositions du texte. Téhéran a indiqué lundi que, en conséquence de cette décision, ses réserves d'uranium faiblement enrichi dépasseraient à partir du 27 juin la limite fixée de 300 kg.
Le Pentagone accuse Téhéran d'avoir attaqué des pétroliers
Outre l'accord sur le nucléaire et les conséquences de la guerre économique menée par Washington, la tension entre l'Iran et les États-Unis se focalisent sur la zone du Golfe.
Le Pentagone a publié lundi de nouveaux documents accusant l'Iran d'avoir attaqué deux pétroliers en mer d'Oman. "Les récentes attaques iraniennes valident les renseignements fiables et crédibles que nous avons reçus sur le comportement hostile des forces iraniennes", a-t-il indiqué.
Onze nouvelles photos rendues publiques par le Pentagone montrent, si l'on en croit les autorités américaines, un objet métallique circulaire de près de huit centimètres de diamètre, attaché à la coque du pétrolier japonais Kokuka Courageous et présenté comme un des aimants ayant permis de poser la mine non explosée. Washington accuse les Iraniens d'avoir retiré cette mine après l'incident survenu le 13 juin.
Une autre de ces photos, prises d'un hélicoptère Seahawk de l'US Navy, montre, toujours selon le Pentagone, la cavité qui aurait été provoquée par une seconde mine apposée sur la coque du même pétrolier que le Washington évalue à plus d'un mètre de diamètre.
"L'Iran est responsable de cette attaque, comme le montrent les preuves vidéo et les ressources et les compétences requises pour retirer rapidement la mine aimantée non explosée", a indiqué le Pentagone dans un communiqué.
L'Union européenne s'est montrée plus prudente dans l'attribution des responsabilités de cette attaque et a refusé de s'aligner sur Washington.
"L'Iran ne veut faire la guerre à aucun pays"
"L'Iran ne veut faire la guerre à aucun pays", a déclaré pour sa part le président iranien, Hassan Rohani, mardi, dans une allocution à la télévision nationale. "Ceux qui nous font face sont un groupe de dirigeants avec une toute petite expérience", a-t-il ajouté. "Malgré tous les efforts des Américains dans la région et leur volonté de couper tous nos liens avec le monde pour enfermer l'Iran, ils ont échoué", a poursuivi Rohani.
Par ailleurs, l'Iran a déclaré avoir démantelé un "nouveau réseau" d'espions travaillant pour les États-Unis, a rapporté mardi l'agence de presse officielle iranienne Irna, qualifiant l'opération de "coup majeur et d'envergure" porté à Washington, dans un moment de tensions entre les deux pays.
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Par Nadia* le 18 Juin 2019 à 18:28
Michel Platini a été placé en garde à vue ce mardi dans le cadre de l’enquête pour corruption sur l’attribution de la Coupe du monde au Qatar en 2022. L’ancien président de l’UEFA a nié toute implication via ses conseillers.
Michel Platini "n'a strictement rien à se reprocher et affirme être totalement étranger à des faits qui le dépassent", ont indiqué les conseils de l'ex- patron de l'UEFA, en garde à vue dans le cadre de l'enquête française pour corruption sur les conditions d'attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar.
Il "ne s'agit en aucun cas d'une arrestation, mais d'une audition comme témoin dans le cadre voulu par les enquêteurs, cadre qui permet d'éviter que toutes les personnes entendues, puis confrontées, ne puissent se concerter en dehors de la procédure", peut-on encore lire dans ce communiqué.
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