• En visite dans un quartier sensible, le chef de l'État a senti des odeurs de cannabis et a averti: "ça ne va pas vous aider à bien travailler à l'école.  

    "Il y en a qui ne fument pas que des cigarettes". En pleine visite en Guyane, Emmanuel Macron a effectué vendredi soir une visite surprise dans deux quartiers sensibles de Cayenne et sa périphérie.

    Alors qu'il posait pour une photo de groupe dans le quartier de la Crique, filmé en direct par le compte Facebook de l'Elysée, le chef de l'État s'est exclamé: "Il y en a parmi vous qui ne fument pas que des cigarettes". Avant de poursuivre: "J'ai encore du nez". Devant des éclats de rires, Emmanuel Macron a repris sur un ton plus grave: "Ca ne va pas vous aider à bien travailler à l'école, vous voyez ce que je veux dire." Et de conclure: "Il faut le dire aux plus jeunes!"  

    "Se confronter à la réalité du terrain"

    Le président souhaitait "se confronter à la réalité du terrain", dans des quartiers où vivent une majorité de clandestins. Au Rond-Point des 100 boîtes aux lettres, dans le quartier de Cogneau Lamirande, à Matoury, le chef de l'Etat a créé la surprise en se présentant à plusieurs dizaines de jeunes, rassemblés sur le bord de la route.

    Accompagné de la maire de Cayenne Marie-Laure Phinera-Horth, le président de la République a ensuite arpenté La Crique, un quartier dont la réputation de dangerosité n'est plus à faire. "C'est là qu'il y a des problèmes de drogue, c'est un quartier chaud. Il y a des dealers, du trafic de stupéfiants, de la prostitution", a expliqué l'élue.  


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  • Destitué hier, le leader indépendantiste Carles Puidgemont invite les indépendantistes à rester "civiques" et "pacifiques".  

    Sa parole était attendue. Carles Puidgemont, destitué vendredi soir de la présidence de Catalogne par le gouvernement espagnol, s'est solennellement exprimé à la télévision ce samedi en début d'après-midi. Et, a-t-il réaffirmé : "Notre volonté est de conserver la stabilité démocratique". Cependant, a-t-il poursuivi, "il faut s'opposer démocratiquement" à la mise sous tutelle proposée par Madrid.  

    Malgré sa destitution, l'ex-président catalan a promis qu'il continuera à "oeuvrer pour construire un pays libre".   


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  • Dimanche 29 octobre, à 3 heures, il sera 2 heures. En clair : il faut retarder sa montre d'une heure.  

    Une heure de sommeil en plus. La France change d'heure dans la nuit du samedi 28 octobre au dimanche 29 octobre. Le pays passe à l'heure d'hiver : dimanche à 3 heures, il sera 2 heures. En clair, il faut retarder sa montre d'une heure.

    Mais les ordinateurs et la plupart des téléphones portables récents vont automatiquement faire la bascule.sarcastic

    Une mesure efficace ?oh

    Le changement d'heure a été instauré, en France, en 1975 à la suite du choc pétrolier de 1973. Afin de réaliser des économies d’énergie, les autorités ont décidé de faire correspondre les heures de travail et les heures d’ensoleillement.yes

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    Et la mesure est efficace, a affirmé l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie dans son dernier rapport, publié en 2014. Les changements d'heure, qui ont lieu en octobre et en avril, permettent d'économiser pour l’éclairage quelque 440 gigawatts, soit la consommation de près de 800 000 ménages.  

    Bref ... C'est une bonne raison pour rester sous la couette a faire un petit câlin bonus a ça petite dulcinée   


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  • Le parlement de Catalogne a adopté vendredi une résolution déclarant que la région devient un «Etat indépendant prenant la forme d’une République», avant d’entonner l’hymne indépendantiste, en l’absence de l’opposition.  

    «Nous constituons la République catalane, comme Etat indépendant et souverain, de droit, démocratique et social», lit-on dans le préambule de cette résolution, approuvée par 70 députés sur un total de 135 à l’issue d’un vote à bulletins secrets. Ont été comptabilisés 70 «oui», 10 «non» et deux abstentions. Auparavant, une majorité des députés de l’opposition avait quitté l’hémicycle en signe de protestation.

    Plusieurs dizaines de milliers de manifestants indépendantistes à Barcelone, massés à l’extérieur du parc abritant le parlement catalan, ont salué par des clameurs de joie l’annonce de la proclamation d’une République catalane. Des hourras, des applaudissements et le cri «indépendance» en catalan sont montés de la foule des électeurs indépendantistes - de l’extrême gauche au centre droit - qui ont ensuite entonné avec ferveur l’hymne de la Catalogne, la plupart le poing levé.

    Dans ses attendus, la résolution demande à l’exécutif catalan de négocier sa reconnaissance à l’étranger, alors qu’aucun Etat n’a manifesté son soutien aux indépendantistes.

    Cette proclamation solennelle entre en vigueur vendredi, après avoir déjà été signée (mais pas votée) par les députés indépendantistes le 10 octobre. Elle avait alors été invalidée par le Tribunal constitutionnel, tout comme le référendum organisé par le gouvernement catalan le 1er octobre et toutes les mesures complémentaires.  

    Le dirigeant conservateur a demandé à tous les Espagnols de «garder leur calme», dans un message signé de ses initiales, tandis que le Sénat espagnol était sur le point de voter sur la mise en oeuvre de l’article 155 de la Constitution afin d’accorder au gouvernement central la possibilité de mettre la Catalogne sous tutelle. Le gouvernement veut destituer l’exécutif régional, contrôler la police et mettre sous tutelle le parlement régional.

    La dernière tentative de la Catalogne pour déclarer son indépendance remonte à 1934, lorsque le président de l’époque Lluis Companys avait proclamé une «République catalane» au sein d’une «République fédérale espagnole».  


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  • Le grassy knoll n’a pas livré ses secrets. Dans le jargon des complotistes, ce talus de Dealey Plaza, sur le parcours du cortège de John F. Kennedy (JFK), à Dallas (Texas), est l’endroit d’où aurait tiré le véritable assassin du 35e président américain, le 22 novembre 1963.

    Jeudi 26 octobre, les historiens, les experts et les millions d’Américains qui ont un avis sur l’assassinat et qui attendaient la publication d’archives qui portent sur cet événement ont été déçus. S’il y a eu rebondissement, il ne s’est pas produit là où on l’attendait.

    La journée s’annonçait historique : après vingt-cinq ans d’attente, 3 100 documents sur l’assassinat, jugés trop sensibles pour avoir été publiés plus tôt, allaient être mis en ligne par les Archives nationales. Dans la presse, l’excitation était à son comble depuis que Donald Trump avait indiqué qu’il ne s’opposerait pas à la publication de ces pièces à la date limite du 26 octobre 2017, conformément au calendrier prévu par la loi de 1992 sur la collection des documents liés à l’assassinat de JFK.

    Selon le journal Politico, Mike Pompeo, le directeur de la CIA, avait bien demandé au président de conserver certaines pièces sous scellés, mais sans succès. M. Trump n’avait, il est vrai, aucune raison de déplaire à sa base, qui brûle d’en savoir plus sur cette affaire, pour faire un cadeau à la CIA, cette dernière venant encore de rappeler le rôle qu’a joué la Russie dans son élection.

     

    Attentes modérées

     

    Les historiens avaient modéré les attentes. Sur la foi d’interviews avec des membres de la commission ayant établi le protocole de publication en 1998, la plupart avaient prédit que rien ne permettrait d’enterrer le soupçon – partagé par plus de la moitié des Américains – que le tireur Lee Harvey Oswald, lui-même assassiné deux jours après la mort de JFK, n’avait pas agi seul.

    En revanche, affirmaient-ils, les documents donneraient un éclairage inédit sur ce que savait la CIA du voyage de six jours d’Oswald à Mexico, où il avait rencontré des intermédiaires cubains et soviétiques, deux mois avant le déplacement fatal de JFK au Texas.

    Mercredi, Donald Trump procédait encore, sur Twitter, à son exercice de teasing quotidien : « La publication longuement attendue des dossiers JFK va avoir lieu demain. Tellement intéressant ! »

    Le président avait raison. Les documents étaient si « intéressants » que, quelques heures avant l’expiration du délai légal, la commission des archives a fait savoir que seuls 2 800 d’entre eux seraient publiés ; le reste ferait l’objet d’une nouvelle révision de 180 jours. Une décision du président, prise sous la pression de la CIA mais aussi du FBI. « Je n’avais pas le choix », a justifié Donald Trump, évoquant le risque de « dégâts potentiellement irréversibles pour la sécurité nationale ».

     

    « C’est le chaos »

     

    A l’université de Virginie, le professeur et spécialiste de JFK, Larry Sabato, avait réuni autour de lui une équipe de quatorze étudiants. Tous étaient prêts à se précipiter sur les documents. Mais ils ont dû déchanter. « Le gouvernement a eu vingt-cinq ans – et une date limite – pour préparer la publication. Le délai est arrivé. Et c’est le chaos », s’est-il désolé.

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    Quant aux complotistes, qui, par définition, ne croient ni à la pagaille ni à la désorganisation, le retard n’a fait que relancer leur sentiment que la CIA avait quelque chose à cacher et qu’il y avait bien anguille sous le grassy knoll. 

    Il ne fait aucun doute, que les agents du FBI ou de la CIA : Seraient fortement impliquer dans toute cette histoire ... Et seraient sans doute le ou les responsables du MEURTRE DE JFK CE JOUR DU 22 NOVEMBRE 1963 ... 

     


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