• Pour l'Agence météorologique de Corée du Sud, il s'agit "probablement" d'une conséquence du dernier test nucléaire de Pyongyang.

    Un tremblement de terre de magnitude 2,5 s'est produit, samedi 2 décembre, tout près du site où sont effectués les essais nucléaires nord-coréens. A moins de trois kilomètres précisément. L'Agence météorologique de Corée du Sud (KMA) évoque "un tremblement de terre naturel", "probablement" lié au sixième test nucléaire conduit par la Corée du Nord.

    Des responsables sud-coréens indiquent qu'il s'agit du quatrième séisme de ce type depuis l'essai conduit par Pyongyang le 3 septembre dernier. Ce test nucléaire, le plus puissant réalisé par Corée du Nord ce jour, avait alors provoqué un séisme artificiel d'une magnitude de 6,3 sur le site.

    Le site d'essais nucléaires pourrait être affecté par ce qu'on appelle le "syndrome de la montagne fatiguée".Ce dernier décrit un site dont la structure géologique a été fragilisée par des explosions nucléaires souterraines.

     


    votre commentaire
  • Le père de Nordahl Lelandais, mis en examen pour l'enlèvement et le meurtre de Maëlys, s'est dit convaincu de l'innocence de son fils.

    Il se dit "sûr et certain" de l'innocence de son fils. Le père de Nordahl Lelandais, mis en examen pour l'enlèvement et le meurtre de la petite Maëlys qui a disparu depuis fin août lors d'un mariage en Isère, estime que "ça ne peut pas être" son fils le coupable.

    Photo d'illustration

    Les enquêteurs "n'ont pas de preuve" a-t-il déclaré ce vendredi sur RTL, estimant que les enquêteurs "n'ont pas de preuve".

     

    "C'est un garçon qui est très gentil, qui aime bien les enfants. Jamais, jamais il ne ferait une chose comme ça",

     

    Selon lui, "l'histoire de la voiture, avec une forme, ça ne tient pas debout non plus". Lors d'une conférence de presse jeudi, le procureur de Grenoble, Jean-Yves Coquillat, a évoqué des images de vidéosurveillance qui montrent à l'avant du véhicule de Nordahl Lelandais au moment de la disparition de la petite fille "une silhouette frêle, dans une robe blanche" pouvant correspondre au vêtement que portait la fillette ce jour-là.

    Sa mère elle aussi convaincue

     

    Les enquêteurs ont formellement identifié la voiture du suspect, qui nie toute implication dans la disparition de l'enfant, mais ne peuvent distinguer le visage de Maëlys, ni déterminer l'identité du conducteur.

    La mère de Nordahl Lelandais, qui avait rendu visite à son fils en prison au mois d'octobre, avait elle aussi déclarer croire en l'innocence de son fils. "Il m'a dit: 'Mais maman, je te le jure, je te l'assure', les yeux dans les yeux", avait-elle raconté. "Je le crois. S'il était coupable de quelque chose, il aurait la tête qui changerait. Il serait différent. Il ne pourrait pas me mentir jusqu'à ce point-là. S'il y avait eu le moindre doute, je l'aurais ressenti."  

    alors ... si ce n'est pas lui ? Qui a donc enlevée et tuée la petite Maelys ? Qui est donc celui qui a fait le coup ? 

    Il nous faut une réponse a ce mystère et boule de gomme ! Bref !? C'est une affaire a suivre ... 

     


    votre commentaire
  • L'exécutif parisien a été épinglé par la Chambre régionale des Comptes d'Ile-de-France, qui a noté que les collaborateurs de cabinet de la maire et de ses adjoints étaient plus nombreux que ce qu'il avait lui-même décidé, un constat contesté par la Ville et dénoncé par l'opposition Les Républicains.

    Portrait d'Anne Hidalgo

    Le rapport de la CRC, dont l'AFP a eu copie mercredi, fait état de 165 collaborateurs de cabinet, partagés par la maire Anne Hidalgo et ses adjoints, au 31 décembre 2015. Or, une limite de 135 collaborateurs avait été votée en 2014, un plafond "nettement dépassé", pointe le rapport qui rappelle que la Ville de Paris est la seule collectivité en France qui puisse fixer le nombre et la rémunération des collaborateurs de cabinet, après vote en Conseil de Paris.

    Cette analyse "repose essentiellement sur le choix très contestable de la CRC de comptabiliser dans les effectifs de cabinet des fonctions supports (réponses aux courriers des Parisiens, etc) qui relèvent du travail administratif", a répondu la Ville, qui affirme "qu'à l'initiative d'Anne Hidalgo, le plafond du nombre de collaborateurs de la maire et de ses adjoints a baissé de 20% par rapport à la précédente mandature. "Cette analyse est d'autant plus surprenante que ces mêmes fonctions supports sont comptabilisées partout ailleurs - collectivités, ministères, etc - en tant qu'agents administratifs", selon un communiqué.

    Le groupe LR a fustigé un "nombre déjà exorbitant de collaborateurs au regard des autres collectivités". La maire, "malgré ses engagements, contourne largement les plafonds qu'elle a elle-même fait voter au Conseil de Paris depuis son élection en 2014" et se place "dans l'illégalité", ajoute le groupe.

     

    Inégalement réparti entre les arrondissements

    La CRC pointe également une "extension illégale" du nombre des collaborateurs de cabinet en poste dans les mairies d'arrondissements, 229 fin 2015, au lieu des 81 prévus dans la réglementation.

    Publicité

    "Ce dépassement est inégalement réparti entre les arrondissements", souligne la CRC, qui estime que "le principe d'équité (...) ne semble pas respecté" au vu de la population respective des arrondissements.  


    votre commentaire
  • L'avocat du suspect dans l'affaire Maëlys a annoncé qu'il allait parler lundi à BFMTV, rompant ainsi son silence. 

    Affaire Maëlys: l'avocat du suspect parlera lundi à la télévision

     

    L'avocat du suspect dans l'affaire Maëlys, mis en examen pour meurtre, va rompre lundi le silence auquel il s'astreignait dans un entretien à BFMTV pour répondre au "réquisitoire télévisuel" du procureur de Grenoble, a annoncé vendredi Alain Jakubowicz. "Le réquisitoire télévisuel du procureur de Grenoble me contraint à sortir de la réserve à laquelle je me suis astreint dans le terrible dossier de la petite Maëlys. Je m'exprimerai lundi à 19h30 sur le plateau de Ruth Elkrief sur BFMTV.", a informé Me Jakubowicz sur Twitter.

    "Je ne voulais pas m'exprimer mais quand j'entends un procureur requérir derrière un micro et mentir... je veux 20 minutes d'explications et BFM me les donne", a dit à l'AFP Me Jakubowicz. Il faisait référence à la conférence de presse, d'une vingtaine de minutes, tenue jeudi à l'issue de la seconde audition de Nordahl Lelandais devant les juges d'instruction grenoblois. "Je ne céderai pas aux petites phrases derrière un micro au dernier moment. Ce qui est en train de se passer est scandaleux, nous avons tous notre part de responsabilité, avocats compris", a ajouté l'avocat de la défense. Le procureur de la République Jean-Yves Coquillat y avait annoncé la mise en examen pour meurtre, en plus du chef d'enlèvement, de Nordahl Lelandais. Il avait détaillé la chronologie de la soirée, les déplacements du suspect et fait état de la présence sur des enregistrements vidéo d'une "silhouette humaine" frêle et vêtue de blanc, pouvant être l'enfant disparue, dans une voiture correspondant à celle de l'homme mis en cause.

     

     

    Les dénégations réitérées de Nordahl Lelandais

    Le procureur avait aussi rapporté les dénégations réitérées de Nordahl Lelandais à son implication dans la disparition de la fillette de 9 ans lors de cette noce à Pont-de-Beauvoisin (Isère). Il avait rappelé à plusieurs reprises la présomption d'innocence dont Nordahl Lelandais bénéficie.  


    votre commentaire