• Une scène de l'apocalypse … 

     


    votre commentaire
  • Plus de 3000 Morts 

    Une Journée de l'horreur 


    votre commentaire
  • 11 Septembre 2001

    " La mort vient du ciel "


    votre commentaire
  • Marine Le Pen dénonce le gel du versement de 2 millions d'euros d'aides publiques par une décision de justice, dans le cadre de l'affaire des emplois fictifs au Parlement européen."Nous risquons la mort du RN" a-t-elle déclaré, alors que la justice doit confirmer la saisie ou non de cette somme le 26 septembre suite à un recours.

     
    Finances du RN: "nous risquons la mort" selon Marine Le Pen
    © RSN Tv

    "Finances du RN: "nous risquons la mort" selon Marine Le Pen"  

    Marine Le Pen, en visite dimanche dans le Pas-de-Calais, a estimé que "nous risquons la mort du Rassemblement national", si la décision de justice le 26 septembre confirmait le gel du versement de 2 millions d'euros d'aides publiques. "Au mois de juillet, ils (les juges financiers parisiens) ont fait un hold-up sur notre dotation publique, mettant le mouvement que je préside dans une situation extrêmement difficile. Nous sommes évidemment sous le coup d'une épée de Damoclès", a déclaré la présidente du RN (ex-FN) à la presse, lors d'un déplacement à Hénin-Beaumont. "Le 26 septembre, une décision va intervenir. Si elle est négative, nous risquons la mort du Rassemblement national".

    Celle qui est aussi députée de la 11 circonscription du département est à nouveau convoquée devant les juges, dans le cadre de l'affaire des emplois fictifs au Parlement européen. "Je leur dirai ma manière de penser", a-t-elle répondu, sans dire si elle se conterait d'une simple déclaration, comme lors de sa mise en examen en juin 2017. L'enquête cible 17 députés et une quarantaine de collaborateurs parlementaires, pour un préjudice évalué par le Parlement européen à 6,8 millions d'euros, entre 2009 et 2017.

     

    Elections européennes en vue

     

    Le 28 juin, les juges ont ordonné la saisie de 2 millions d'euros d'aides publiques qui devaient revenir au RN, le qualifiant d'"organisateur des détournements". Le RN, qui a formé un recours contre cette décision, saura le 26 septembre si la justice confirme ou non la saisie. "Les coups sont de plus en plus durs, sont de plus en plus nombreux, mais s'ils croient qu'ils vont nous déstabiliser, ils se trompent, car plus nous sommes attaqués, plus nous sommes renforcés dans nos convictions et dans notre volonté de gagner", a déclaré l'ancienne finaliste à l'élection présidentielle de 2017.

    Lors de son discours, prononcé à sa permanence, elle est également revenue sur les élections européennes de 2019, et a exhorté les militants à être à "ses côtés". "On voit se lever partout des forces populaires", a-t-elle déclaré, en citant la Hongrie, la Pologne, l'Autriche "et peut-être aujourd'hui, la Suède" où se tiennent des élections législatives. "Tout semble dire que notre heure est venue."

    Marine Le Pen, dont c'était le deuxième déplacement depuis la fin des congés d'été, après Châlons-en Champagne vendredi, fera sa rentrée politique lors d'un meeting le 16 septembre à Fréjus (Var). Interrogée sur les trois nouvelles démissions au sein du groupe RN au Consiel régional des Hauts-de-France, qui compte désormais 42 membres contre 54 en décembre 2015, Mme Le Pen a affirmé qu'il s'agissait "clairement" d'une question d'ambitions personnelles.

     


    votre commentaire
  • Le journaliste Bob Woodward, dont le livre "Fear" narre le chaos à la Maison-Blanche, révèle cette information dans une interview.

     
    Donald Trump, le 5 septembre 2018 à Washington.
    © RSN Tv 
     

    Le président américain Donald Trump a manqué de déclencher un conflit avec la Corée du Nord en envisageant de publier un tweet qui a "vivement alarmé" le Pentagone, affirme le journaliste d'investigation Bob Woodward.

    Dans ce tweet, que Donald Trump n'a finalement pas envoyé, le locataire de la Maison Blanche comptait ordonner le retour des familles des quelque 28.500 militaires américains basés en Corée du Sud, a précisé Bob Woodward, dans une interview diffusée ce dimanche 9 septembre par CBS.

    Une telle mesure aurait instantanément été interprétée par Pyongyang comme le signal d'une attaque imminente des forces américaines, a expliqué le journaliste, auteur d'un livre incendiaire sur la présidence du magnat des affaires.

    "A ce moment-là, l'état-major au Pentagone s'est vivement alarmé, en pensant : 'Mon Dieu, ce tweet alors que nous disposons d'informations fiables selon lesquelles les Nord-Coréens vont interpréter cela comme l'indication d'une attaque imminente'", a déclaré Bob Woodward.

    "Nous faisons cela afin d'éviter la guerre mondiale"

    Dans son livre, dont la sortie est prévue mardi, le journaliste, connu pour ses révélations dans l'affaire du Watergate, décrit un Donald Trump obsédé par le retour des soldats américains déployés en Corée du Sud.

    "Je ne sais pas pourquoi ils sont là-bas", aurait dit le président lors d'une réunion. "Ramenons-les tous au pays". A la suite de quoi son ministre de la Défense, James Mattis, lui aurait expliqué : "Nous faisons cela afin d'éviter la troisième guerre mondiale".

    Dans une tribune anonyme publiée dans le "New York Times", un haut responsable gouvernemental américain décrit comment les collaborateurs du président s'escriment à limiter les conséquences potentiellement désastreuses de certaines de ses décisions impétueuses.

     


    votre commentaire