• La police de Manchester annonce avoir été appelée juste après 22h30, heure locale, à la suite d'informations faisant état d'une explosion dans la plus grande salle de concerts de la ville, la Manchester Arena, d'une capacité d'environ 20.000 personnes. S'y produisait ce lundi soir la popstar Ariana Grande. 

    Les spectateurs disent avoir entendu l'explosion juste à la fin du concert, alors qu'ils commençaient à sortir de la salle.

    De son côté, la Manchester Arena évoque dans un tweet une explosion qui se serait déroulée hors de la salle de concerts, dans un endroit public. Un communiqué de la police des transports mentionne une explosion dans le foyer de la salle de concerts. Ce foyer est un espace public qui relie la salle à la gare toute proche de Victoria où passent trains et métros. 

    La police confirme 19 morts et environ 50 personnes blessées. Les blessés sont traités dans six hôpitaux, a précisé la police.

    > Parle-t-on d'une attaque terroriste?

    La police britannique reste prudente pendant plusieurs heures avant de finir par dire qu'elle traite l'affaire comme un "incident terroriste". La Première ministre Theresa May dénonce dans la nuit une "épouvantable attaque terroriste" et exprime sa sympathie aux victimes et à leurs familles.

    > L'explosion a-t-elle été revendiquée?

    Ce mardi matin, à 5h00, l'action n'a pas été revendiquée. Mais la piste terroriste est sérieusement envisagée par la police. 

    La dernière attaque terroriste au Royaume Uni s'est déroulée il y a deux mois précisément, à Londres. Le 22 mars, un citoyen britannique converti à l'islam, Khalid Masood, avait tué cinq personnes en fonçant dans la foule avec son véhicule avant de poignarder mortellement un policier avant d'être abattu près du Parlement.  


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  • Pilote : Dark a détruit son véhicule mais notre trouffion a échapper a la sulfateuse

    Allah : Oh non

    Pilote : Mais si mon kiki ... Regarde c'est le papa noel ...

    Co-Pilote : Et qui va recevoir un beau missile dans les fesses c'est le chef de Daesh


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    Isma Allah a été localisé ... Il a éviter les tirs de Furaxio !

    Lancer les Apaches Ah-64 et buter moi ce couillon


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    Isma Allah a été aperçu dans votre secteur ... Il est a bord d'un 4X4 De couleur blanc

    Localisé le véhicule et atomisé moi ce trouffion

    Furaxio : Ici Bluesky message bien reçu ... nous allons lui faire sa fête a ce C** Terminée


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  • "Une attaque internationale." C'est ainsi que la Première ministre britannique a qualifié, vendredi 12 mai, les attaques informatiques ayant pris pour cible plus de 60 pays, dont l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Australie et la Russie.

    "C'est l'une des plus larges attaques au rançongiciel [virus qui bloque les ordinateurs jusqu'au versement d'une rançon, NDLR] jamais vue par la communauté de la cybersécurité", a commenté Rich Barger, directeur des études sur les menaces de la société de sécurité Splunk, basée aux États-Unis.  

    Pour Fabrice Epelboin, professeur à Sciences Po Paris et spécialiste de ces questions, il est clair que "le cyberarmement de la NSA a visiblement été utilisé pour cette attaque. Ce n'est pas une surprise puisqu'une partie de celui-ci a été dérobé, il y a quelques semaines, et mis à la disposition du public", explique l'expert. "Ce sont des gens qui sont là pour l'argent et qui ont réutilisé de l'armement conçu pour espionner des entreprises, des individus et des gouvernements."

    Plan d'urgence pour les hôpitaux britanniques

    "Après une cyberattaque présumée au niveau national, nous prenons toutes les précautions nécessaires pour protéger nos systèmes et services de santé locaux", a indiqué le National Health Service (NHS), l'organisme de santé publique britannique, de la région de la Mersey dans le nord de l'Angleterre sur Twitter. Le NHS a précisé que ce piratage avait contraint les antennes médicales à des annulations de rendez-vous et à la redirection de certains patients vers d'autres services.

    Un docteur, utilisant un compte Twitter anonyme, a posté ce résumé de la situation comme le relève le quotidien britannique The Guardian : "Hack massif du NHS aujourd'hui. Les hôpitaux sont à l'arrêt. Merci de retarder la prise en charge des urgences et de mettre en danger des vies. T**** du c**".  

    L'Espagne et la Russie touchés, la France épargnée

    L'Espagne a également été victime d'attaques similaires. À Madrid, le ministère de l'Énergie a expliqué avoir eu "confirmation de différentes cyberattaques visant des entreprises", également par un virus de type "ransomware".

    Parmi les victimes, on compte le premier opérateur télécoms du pays, Telefonica, tandis que le groupe de services aux collectivités Iberdrola et l'opérateur gazier Gas Natural ont pris des mesures préventives.

    Dans un communiqué, le ministère se veut cependant rassurant: "L'attaque a touché ponctuellement des équipements informatiques de travailleurs de différentes entreprises" et "elle n'affecte donc pas la prestation de services, ni l'exploitation des réseaux, ni l'usager de ces services".

    En Russie, ce sont aux alentours de 1 000 ordinateurs du ministère de la Défense qui ont été affectés par la cyberattaque, a révélé une porte-parole du ministère aux agences de presse russes.

    En France, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'informations (Anssi) a indiqué à l'AFP qu'il n'y avait "pour le moment" aucune "entité française" touchée par ces attaques. L'agence a tout de même émis sur son site Internet un bulletin d'alerte à la suite de l'attaque, mettant en garde contre "l'apparition d'un nouveau rançongiciel" malveillant "qui provoque le chiffrement de tous les fichiers d'un ordinateur".  

     

     

     

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